• "Je me suis rarement demandée comment j'allais mourir. Mais mourrir à la place d'un être cher, me semble une fin enviable." 

    Cette phrase qui revient dans ma tête, me fais amèrement regretter le décès de mon père.  J'aurais peut-être pu mourrir à sa place. Une greffe de poumon aurais peut-être étais envisageable, qui sais. Après tout cela aurait était mon choix. Ma décision. Ma mort. Le guérir de son cancer aurais était un soulagement et j'aurais vécu jusqu'au jour de mes 12ans. J'aurais pu faire ce choix, mais l'état de son cancer ne l'aurais pas permis. Mon âge non plus. 883 jours après le fameux drame, j'en suis toujours au stade ou je ne vis pas, du moins, je ne vis plus. J'ai quatorze ans, mais j'ai pourtant arrêter de vivre le 05.03.2013 à 22h28.


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